《悲惨世界》与《骆驼祥子》主人公形象对比

 2023-11-08 09:11

论文总字数:29088字

摘 要

法国文学是世界文学中非常耀眼,雨果也是大家耳熟能详的法国文学家,在他的笔下描绘了当时法国黑暗的社会,而中国文学家老舍也对当时黑暗的北平进行了刻画,因为冉阿让有信仰,祥子没有信仰,导致两个人的结局也截然不同。本文通过对于冉阿让和祥子的形象对比,从社会背景、人物经历、写作手法上进行比较,发现雨果更加注重挖掘灵魂层面,老舍更加注重社会现实。从而得出:在艺术表现手法上,雨果比老舍更加成功。

关键词: 人物形象、悲剧命运、写作手法、人物经历

La Comparaison des héros dans Les Misérables et Le tireur de pousse

1.L’ introduction 1

2. L’analyse du héro dans Les Misérables 1

2.1 Le contexte historique 1

2.2 L’expérience de Jean Valjean 2

3. L’analyse du héro dans Le tireur de pousse 3

3.1 Le contexte historique 3

3.2 L’expérience de Xiangzi 4

4. La comparaison entre les deux héros 5

4.1 Les images de caractère 5

4.2 Les causes de la tragédie 6

4.3 Les techniques d’écriture 7

5. Conclusion 9

Bibliographie 11

L’ introduction

Victor Hugo, l’auteur de Les Misérables est l’un des plus grands écrivains de l’histoire de la littérature française. Les Misérables est un roman de Victor Hugo paru en 1842. Dans ce roman typique de la littérature français. L’auteur donne une description vivante de la vie des miséraux dans Paris et la France provinciale du XIXe siécle. Au cours de cette période, l’écrivain chinois Laoshe, qui est connu comme l’artise du peuple, a également décrit la société sombre de Pékin par son roman Le tireur de pousse. Cependant, les héros des roman ont des destins complètement différents, beaucoup de gens sont controversés : deux oeuvres réalistes, quelle peut reflète mieux la réalié sociale ; les compétences d’écriture des deux écrivains sont plus puissants.

2. L’analyse du héros dans Les Misérables

2.1 Le contexte historique

Ce roman se développe en France de la défaite de Waterloo à la monarchie de Juillet , le temps s’étend sur un demi-siècle. L’auteur a décrit les faits historiques de soulèvement populaire et une grande image de la vie sociale et politique : petite ville reculée dans les provinces, nouvelles villes industrielles au bord de la mer, terribles tribunaux, prisons sombres, misérables taudis de Paris, monastères ténébreux. Toutes les scènes rendent une atmosphère lugubre et froide et impliquent le sort malheureux et la vie vagabonde du Jean Valjean. Dans le même temps, par le biais de la description de l’environnement difficile du société, Jean Valjean doit faire des choix dans cette adversité. Pourquoi va-t-il en prison ? Parce qu’il a volé un morceau de pain ; Pour quoi vole-t-il du pain ? Parce qu’il n’a pas le coeur à regarder son neveu mourir de faim. Pourquoi son neveu est-il affamé ? En raison de la famine et il n’a pas pu trouver un emploi. Le coeur généreux et altruiste du Jean Valjean correspond au phénomène sombre social de l’époque. Le sort du peuple de classe inférieure est tout misérable, l’expérience de tout le monde est très similaire. Jean Valjean ne s’ abandonne pas à son sort et devient l’esclave d’une société criminelle. Dans la vraie vie, il est une personne typique qui est opprimé, endommagé, souffrant. Donc, on se révolte contre la société ; Dans le domaine spirituel, il est une image d’un Moraliste avec des personnalités et des esprits nobles. Son destin tragique lui a fait traverser trois étapes : la contradiction spirituelle, la récupération humaine, la sublimation morale. C’est la bagne qui l’a amené plus de temps pour examiner lui-même et examiner la société. Sa vie tortueuse a produit son angoisse intérieure et la contradiction, c’est une révolte de faible face à la misère et une image du héros tragique. Cet esprit peut seulement se magnifester en calme la douleur est la plus forte puissance de Jean Valjean. La tragédie n’est pas le nec plus ultra du roman. Après le chagrin, Victor Hugo tente de découvrir une beauté humaine. Jean Valjean est misérable, mais il sauve les autres des souffrances. Il est plein d’amour humanitaire et de bonté. Victor Hugo donne à l’esprit humanitaire de Jean Valjean, principalement pour transformer l’humanité à travers l’influence de l’humanitaire. Le plus large du monde est l’océan, plus large que la mer est le ciel, plus large que le ciel est l’esprit humain.

2.2 L’expérience de Jean Valjean

Jean Valjean est émondeur à Faverolles. Il est né dans une famille de pauvres paysans de la Brie en 1769. Il a perdu ses parents quand il était jeune, c’est sa sœur Jeanne qui l’a élevé. Àprès le décès de son beau-frère en 1974, c’est à lui que revient la tâche de nourir la famille. En 1795, un hiver très froid entaîne la famille Valjean dans la disette, il est contraint de voter un morceau de pain pour préserver son reveu de la faim, puis Jean Valjean est contamé à cinq ans de bagne pour ce vol. Il pense que le résultat du procès n’est pas juste. De plus, la punition est lourde et il ne peut pas supporter les traitements inhumains qui subit ce qui le poussa à toutes jambes à de nombreuses reprises. Sur cette base, on peut trouver que le caractère rebelle de Jean Valjean et son courage de lutter contre les phénomènes laids de la société. Dans les jours de prison, il a constamment pensé aux lois déraisonnables et aux réalités déraisonnables, c’est cette souffrance qui a augmenté la lueur de ses pensées. Dans d’innombrables baguettes et tavails, son âme a été reconsidérée. Après avoir été enfermé au bagne de Toulon pendant dix-neuf ans, il est enfin libéré le premier jour d’Octobre 1815. C’est très ridicule : un homme a été emprisonné pendant 19 ans pour avoir volé un morceau de pain. Jean Valjean porte successivement au bagne les matricules 24601 et 9430. Victor Hugo attache beaucoup d’importance au fait que le bagne et la société détruisent l’identité sociale des individus qui ne sont plus que des numéros. Il en fait même un titre de chapitre 《Le numéro 24601 devient le numéro 9430》. Le matricule 24601 est suffisamment célèbre peut-être repris plusieurs fois. Cependant il est encore chassé par les policiers et erré dans la rue toute la journée. L’esprit plein de rancune envers cette société qui lui aspira l’aide de se venger de cette société. L’identité du prisonner lui a donné l’oeil froid et le rejet du peuple après sa sortie de prison, le rêve d’une nouvelle vie a été écrasé. L’évêque Myriel qui est la seule personne l’acueilli charitablement en connaissant sa condition d’ancien forçat. Bien qu’il trouve refuge chez Monseigneur Myriel, il vole ses couverts en argent et s’enfuit au milieu de la nuit. Jeant Valjean est arrêté par les policers qui l’amènent chez le Monseigneur le lentemain matin. Pour le sauver, l’évêque donne une explication aux gendarmes et il est relâché d’aussitôt. Il est très touché par les paroles et les actes de l’évêque, que le détermina à ne pas faire de mauvaises choses. Il apprit à être bon. Sous l’influence de l’évêque, la compréhension intérieur de la nature humaine est revenue et éclairant la lumière de la nature humaine dans les profondeurs de son coeur. Dès lors, Jean Valjean a commencé à être servible, courageux, ardu. Finalement, aimé par le peuple et est devenu un maire respecté. Il est très charitable et n’oublie jamais les pauvres. La ville qu’il gouverne devient un paradis exempt de la misère, la pauvreté et le chômage. Finalement, il est recherché pour aider les autres, erré dans la rue. Passant la vieillesse dans la douleur et la solitude. Avant sa morte, il est été compris par ses amis. Dès prisonnière au maire, c’est sans aucun doute un grande changement dans la nature humaine et la lumière brillante de la nature humaine. Le sacrifice de Jean Valjean, l’éveil de Marius et le suicide de Javert étaient tous dans la douleur légère, cela fait les gens sentent la chaleur de l’âme.

3. L’analyse du héros dans Le tireur de pousse

3.1 Le contexte historique

Ce roman s’est déroulé dans les années 1920, les seigneurs de guerre du Nord a jugé Beijing. À ce moment-là, la société était sombre et la vie des travailleurs du bas est difficile : huit familles vivent dans une cour, la pièce est petite et brisée et ont encore sept personnes, la persécution des classes inférieurs par les classes supérieures est vue partout. Dans une société sombre, il est impossible d’atteindre la lutte personnelle. Les femmes veulent nourrir leurs seules et uniquement à travers la prostitution. Xiangzi vient de la campagne et de plus en plus la désintégration croissante de la campagne le rend incapable de vivre. Il est arrivé à la ville la première foi et a l’intention de créer une nouvelle vie avec son travail. Il a essayeé toutes sortes de tavails et enfin choisit le pousse-pousse. Ce choix de carrière indique qu’en dépit Xiangzi a déjà quitté la terre et conservé encore la façon de penser des agriculteurs. Il est habitué aux travails de l’individu et aspiré au pousse-pousse qui est fiable comme la terre. Pour devenir un travailleur indépendant, l’achat d’un pousse-pousse est devenu son désir, espoir et même religion. Afin d’atteindre cet objectif, il semble endurer tous les griefs, cependant il y a un besoin de rébellion dans son caractère. Xiangzi cherche toujours le forte et la lutte et est mal à l’aise dans le statut social méprisable. Il a l’enthousiasme et l’esprit dur comme un chameau et continue à lutter avec la vie. Mais ce qu’il fait est inutile dans la société à l’époque. Ses efforts répétés ont échoué encore et encore. Finalement, après la morte de la femme aimée : Xiaofuzi et la perte du pousse-pousse pour la troisième fois, Xiangzi a abandonné la lutte. Il est taquiné par la vie et commence à gaspiller le temps en mangeant, en buvant, en putassant et en jouant de l’argent. Pour boire du vin, Xiangzi fait un emprunt partout et devient 《l’ordre d’une ville》 Le profondeur de ce roman est de faire attention à la réalité sociale, non seulement Laoshe décrit l’environnement de vie très dures fait l’exploitation matérielle de Xiangzi, mais aussi dépeint la déclin spirituel de Xiangzi après que l’idéal de la vie a été détruit. Le roman reflète le destin tragique des anciens ouvriers chinois dans les 30 premiers de la fin des années 1920.

3.2 L’expérience de Xiangzi

Après avoir perdu ses parents et la terre, Xiangzi, 18 ans, est allé à la ville et a gagné sa vie en tirant un pousse-pousse. Il a économisé 100 dollars et acheté un nouveau pousse-pousse par trois ans de dur labeur. Le premier haut : il a travaillé dur pendant trois ans et puis acheté le pousse-pousse. Xiangzi a forte estime de soi et est capable de supporter une vie dure et les difficultés. Il vit par sa propre puissance et est enthousiaste sur la vie et pense que 《avec son propre pousse-pousse existe tout》. Le premier bas : la guerre ne pas cesse de harceler la vie des gens, menaçant la sécurité des gens, Xiangzi a été arrêté brisé par le policier et a perdu son pousse-pousse. L’idéal a été brisé pour la première fois. Et on se sent injuste et est encore plein d’espoir pour la vie, n’est pas vaniteux. Le deuxième haut : Xiangzi a vendu les chameaux et chez monsieur Cao, il a économisé de l’argent et s’est préparé à acheter un nouveau pousse-pousse. Il sent toujours que la vie est pleine d’espoir, chaleur, convivialité. Le deuxième bas : dans une chasse à l’homme, l’argent gagné durement de Xiangzi est extorqué par détective Sun qui suit Monsieur Cao. Cela n’a rien à voir avec Xiangzi, mais quand Monsieur Cao évite détective Sun. Le bon et honnête Xiangzi décide de rester et de prendre soin de la maison de Monsieur Cao. Xiangzi est tellement confus qu’il n’a pas provoqué quelqu’un, pourquoi il a été intimidé, mais il ne sait pas qu’il vit dans une sociétésans justice. Vivant dans une telle sociale, les gens comme il n’a pas la puissance et ne prend pas en considération le moment et la situation, veut tracer une nouvelle voi avec ses bienveillances. Il est destiné à souffrir, même s’il ne fait pas mal d’autres. Tout cela correspond au réalisme. En ce moment Xiangzi s’abandonne à l’incertitude et au déespir. Le troisième haut : Xiangzi se marie avec Huniu qui est la fille d’un homme riche, Huniu achete un pousse-pousse d’un voisin. Xiangzi est heureux de l’avoir. Le troisième bas : Huniu est morte en ciuches. Pour acheter ses funérailles, Xiangzi a vendu le pousse-pousse à nouveau et a su la nouvelle de la mort du Xiaofuzi, la femme qu’il aime. En fin de compte, Xiangzi est complètement corrompu et perd tout espoir.

4. La comparaison entre les deux héros

4.1 Les images de caractère

Jean Valjean et Xiangzi, tous les deux, sont de constitution robuste comme la bête. Jean Valjean emmene Marius à l’égot pendant longtemps ; Xiangzi est très jeune et trahit sa vie par le travail physique. Ils sont nés dans des familles pauvres, face à la même société sombre. La différence est que dans un premier temps, pour vivre, Jean Valjean vole et Xiangzi travaille dur. Cependant, à ce moment-là, ils sont obligés de faire ces choses. Leurs expériences de vie sont divisées en trois étapes, mais la direction du développement est diamétralement opposée. Jean Valjean est devenu un maire respecté d’un voleur et grâce à son introspection constante de lui-même, il se rend compte de son propre salut avant sa mort. Xiangzi est passé d’un jeune homme terre-à-terre à une personne brouillée. L’ancien prête plus d’attention à l’excavation de l’âme du personnage. Le drnier s’intéresse plus à la réalté sociale à cette époque. Mais ils sont tout aussi rsponsables. Jean Valjen met en place une usine, offer des emplous pour les pauvres, reconnaît la situation de Fantine, et prend l’initiative de lui aider. Après la mort de Fantine, Jean Valjean éleve sa fille consciencieusement. Après le deuxième achat d’argent de Xiangzi a été arraché par détective Sun, sa première préoccupation est Monsieur Cao parce qu’il trouve que Monsieur Cao est un bon personnage, même s’il est déjà en difficulté et n’oblie pas de penser avec inquiétude à Monsieur Cao, cela reflète la responsabilité des travailleurs. L’éducation de Xiangzi a laissé son esprit mal dernière, il ne sait pas que seul un homme spéulant sur les circonstances comme Gaoma peut-être en mesure de vivre librement à ce moment-là. Et Xiangzi est aussi un travailleur individuel inconscient qui aspire à une vie meilleure mais sans trouver la bonne voie. Il est le prouduit de cette société morbide et ne sait pas qu’en s’appuyant sur les efforts individuels ne peut pas obtenir les résultas escomptés, ni a-t-il vu la nature de la société. Dans ce roman, Laoshe critique séchement la vieille société sombre qui change un jeune homme d’un travailleur vivant à un voyou et révéle que telle une ère de Seigneur de la guerre, les classes laborieuses ne sont pas en mesure d’échapper à la situation de pauvreté par la lutte personnelle, en attendant exprime également la profonde sympathie pour les travailleurs au fond Les Misérables sur l’humanité, dans le misère et le désespoire, en passant nous une subversion profonde, se replie vers le chemin par la puissance de l’amour, c’est comme le coeur d’un long trempage au froid sombre peu à peu sent la chaleur et la lminosité de longperdus. Et cette sorte d’affection a fai renaître d’une âme chaleureuse est Jean Valjean.

Toutes leurs tragédies sont enracinées dans la société sombre, mais le résultat final des deux héros est complètement différent, qui reflète la différence entre Victor Hugo et Laoshe dans l’expression artistique.

4.2 Les causes de la tragédie

La tragédie de Jean Valjean vient d’une part la société sombre à l’époque, mais la raison principale est qu’il continue à se racheter et de remettre en question lui-même. Un aspect de sa quête est de transmettre l’amour de l’évêque pour le Dieu, d’autre part, d’être traité également avec d’autre, on peut le trove d’après Jean Valjean a sauvé Javert, qui persécuta Jean Valjean pendant des années, lui suivit comme une ombre, et il fut aussi le pécheur direct qui a causé la mort de Fantine. Jean Valjean se rendit volontairement lorsqu’un ouvrier qui lui ressemblait fut enlevé et a passé sa vieillesse solitaire, car il avait dit qu’il eut été un esclave à Marius et Cosette, donc ils lui éloigne. Le roman fourmille de personnages. Nombre d’entre eux font une courte apparition et retournent dans l’oubli. C’est une volonté délibérée de Victor Hugo : il cherche à démontrer que la misère est anonyme. Cet oubli est particulièrement prégnant dans le cas de la soeur de Jean Valjean et ses sept enfants : 《C’est toujours la même histoire. Ces pauvres êtres vivants, ces créatures de Dieu, sans appui désormais, sans guide, sans asile, s’en allèrent au hasard, qui sait même ? chacun de leur côté peut-être, et s’enfoncèrent peu à peu dans cette froide brume où s’engloutissent les destinées solitaires, mornes ténèbres où disparaissent successivement tant de tête infortunées dans la sombre marche du genre humain. Ils quittèrent le pays. Le clocher de ce qui avait été leur village les oublia ; la borne de ce qui avait été leur champ les oublia ; après quelques années de séjour au bagne, Jean Valjean lui-même les oublia》. Je crois que Victor Hugo n’écrit pas Les Misérables pour dessiner le mal de la nature humaine, mais précisément pour écrire la beauté de la nature humaine. La beauté de la nature humaine est la plus réfléchie, c’est dans le monde le plus sombre. Pourtant la cause de la tragédie de Jean Valjean vient du monde extérieur, tout d’abord dans le carde de la lutte des Xiangzi, il est une personne très individualiste qui veut obtenir une vie meilleure à travers ses propres efforts, mais irréalisable dans la société sombre. Il y a un paragraphe dans le roman qui dit que lorsque Xiangzi voit les souffrances d’un tireur de pousse-pousse jeune ou vieux, il ne sympathise avec eux, car il sent qu’il est différent d’eux et peut compter sur ses propres efforts pour rester loin de cette vie et vivre heureusement. Cepandant Xiangzi est très sympatique, quand il voit que Laoshe et Xiaoma n’ont pas d’argent pour manger dans la froidure hivernale. Il achete des petits pains pour eux même s’il a faim lui-même. Donc, c’est l’individualisme n’est pas l’égoïsme. Ensuite, le mariage malheureux de Xiangzi, il n’aime pas Huniu et il y a beaucoup de désaccords au sujet de leur personnalité. Xiangzi veut faire de l’argent et acheter un posse-pousse, puis il va retournerà la campagne d’épouser une fille sensible et assidue. Mais Huniu à travers certains moyens répréhensibles pour obtenir Xiangzi de l’épouser. Bien que Xiangzi n’aime pas ce genre de vie, mais au moins Xiangzi a encore une garantie à la vie, malheureusement, un an plustard, Huniu est morte en couches, Xiangzi ne peut pas lui vivre aux dépenses. La tragédie de ce mariage encore plus de souffle vers le haut, lui faisant plus méfiant de lui-même, refusant lui-même et puis s’est lancé sur la route d’aller au désespoir. Le dernier mais le plus important, la société a conduit à la chute de Xiangzi ce jour-là. En peignant Xiangzi, Laoshe décrit l’oppression et l’exploitation des pauvres gens et expose leur tragédie provenant de la désintégration sombre de l’ancienne société et exprime sa profonde sympathie pour les gens en bas.

4.3 Les techniques d’écriture

L’auteur commence par l’utilisation de techniques Baimiao, la représentation de la figure de Jean Valjean n’est pas impressionnante mais rend l’image plus ordinaire. La plus grande particularité artistique de Les Misérables est la cobinaison organique de réalisme et romantisme. Les Misérables est le travail symbolique de la transformation du réalisme au romantisme de Victor Hugo. Le travail est basé sur le romantisme, mais en même temps, on est imprégné de l’éclat du réalisme. La disposition et la description des personnages est romantique, Victor Hugo insiste sur le principe de contraste, le bon : l’évêque Myriel et le mal : les Thénardier en contraste pointu. L’auteur utilise aussi les techniques exagérées pour décrire des personnages entraordinaires et rendre leurs qualités inhabituelles, des forces et des expériences. Jean Valjean et Javert sont une paire de contradictions, bien que le premier est un criminel, on abandonne le mal et profite aux gens ; Le dernier est le policier, mais sa application de la loi est trop stricte, on fait la mauvaise chose. La description précise de la rencontre et l’environnement aussi avec le réalisme, tels que le sort de Jean Valjean et Fantine, l’enfance de Cosette, la vie quotidienne bourgeoise. Victor Hugo est pus qu’un constrate avec la beauté et la laideur, on dépeint un groupe de chair et de sang, caractère, énergie, spirituelles caractéristiques différents, tout cela a grandement amélioré l’appel du roman. L’art vient de la vie et sur la réalité, l’expérience de Jean Valjean est légendaire, mais la légende est seulement un spectacle de couleurs vives, sa signification est de mettre en évidence une ère de style, afin qu’un personnage peut reflèter davantage de personnes dans la société. L’auteur à travers la manière romantique, laisse Jean Valjean, qui a souffert toute la vie, est mort dans les bras de l’amour, et finalement sa bonté et son intégrité ont été récompensées. Il s’agit de compassion de l’auteur et ses meilleurs voeux au monde et à l’humanité. Le roman est compact en structure. La prise d’oeuvre 《trois hauts et trois bas》 de Xiangzi comme l’indice de développement, le centre est l’amour entre Xiangzi et Huniu, grâce à la relation entre Xiangzi et la population environnante, les traits s’étend à la vie de la plus large de différentes classes et familles, reflètent la scène sombre de la société et révèlent naturellement l’inévitabilité de Xiangzi et l’importance sociale ; La description psychologique riche, délicate et modifiable. La personnalité de Xiangzi est silencieuse, dure et même terne, et la description psychologique ajoute à la nature du discours pauvre de Xiangzi. On écrit la psychologie par le mouvement, l’état de choses et la langue. Grâce à l’analyse directe de Laoshe, les changements psychologiques de Xiangzi ont été confiés. On observe l’esprit de Xiangzi à travers les yeux d’autrui. Avec le changement de décor dans les yeux de Xiangzi, on dépeint la psychologie. La description de la douane, les caractéristiques géographiques et le décor. La langue parlée de Beijing dépeint de façon vivante les paysages naturels et les coutumes sociales de Pékin avec précision et expressivité la psychologie des gens de la classe inférieure de Pékin. De cette façon, la classe de lecteur de Le tireur de Pousse-pousse est beaucoup plus large. En outre, ceux qui ont un faible niveau de langue ne souffrent pas de la barrière de la langue, puis on ne comprend pas ce que Laoshe veut exprimer.

5. Conclusion

Les Misérables est à la fois un roman d’inspiration réaliste, épique et romantique, un hymne à l’amour et un roman politique, social, historique et philosophique dans lequel on retrouve les idéaux du romantisme et ceux de Victor Hugo concernant la nature humaine. L’utilisation du langage populaire dans Les Misérables. D’après Pascal Melka, dans 《Victor Hugo, un combat pour les opprimés, Étude de son évolution politique》, dans Les Misérables, Victor Hugo a fait revenir le langage populaire dans la littérature. Il emploie l’argot et va jusqu’à consacrer un chapitre à philosopher sur le mot de Cambronne, 《le plus beau mot peut-être qu’un Français ait jamais dit》. Tout ceci faisait naturellement scandale dans l’opinion classique. Un des thèmes du roman est donc 《le crime de la loi》. Si l’oeuvre montre comment les coercitions sociales et morales peuvent entraîner les hommes à leur déchéance si aucune solution de réédification n’est trouvée, c’est surtout un immense espoir en la générosité humaine dont Jean Valjean est l’archétype. Presque tous les autres personnages incarnent l’exploitation de l’homme par l’homme. L’exergue de Hugo est un appel à l’humanité pour qu’elle ne cesse d’oeuvrer à des temps meilleurs. Jean Valjean est l’un des principaux personnages qui lie différentes histoires du cycle des Misérables. Son profil philosophique évolue au gré du temps et des rencontres qu’il fait prouvant que la bonté universelle et la capacité à s’améliorer est chez chaque être humain. Les Misérables est une excavation profonde de l’âme, dans l’utopie romantique de Hugo. Jean Valjean est hors de la pauvreté qui est l’ombre de toute la vie de Xiangzi. Sa misère est plus enracinée dans sa torture de l’âme. Après la résurrection de la foi engourdie, Jean Valjean qui a la foi, est toujours piégé par la moralité et par l’auto-examen à répétition. Depuis un certain nombre de raisons, il souffre de ne pas s’exposer.

Quand on lit les oeuvres des Laoshe, le lecteur peut se sent souvent heureux. En effet, l’art de la langue humoristique et satirique peut apporter aux lecteurs une expérience relaxante et agréable. Cependant, c’est une personne tellement humoristique, mais son coeur est carrément pessimiste. Beaucoup d’écrivains est le groupe le plus sensible des personnes dans la société, Laoshe aussi. En période de rurbulance, il peut sentir la ristesse du peuple en bas, mais il n’a pas choisi la forme le plus épiciée pour exprimer la tritesse, mais choisi d’utiliser le langage de comédie pour évacuer leurs sentiments et un tel choix met en évidence le caractère émouvant. Le tireur de pousse-pousse est plus préoccupé par la réalité sociale, cette tragédie n’est pas la tragédie de Xiangzi, soi-même cette midère ne peut pas résoudre par Xiangzi, ce roman nous a fait réfléchir plus profondément sur la société.

Laoshe a écrit la vérité d’un ton triste. Pour Victor Hugo, le roman est un miroir qui reflète la nature. Mais si le miroir est un miroir orinaire et rigide, il ne peut que refléter l’aspect terne et apparent sans gloire. Le roman devrait être un miroir concentré qui transforme peu de clarté en lumière. Par conséquent, Victor Hugo est plus astucieux dans ses techniques artistiques. Il n’écrit pas seulement la réalité sociale, il dessine aussi son monde subjectif, soit son absence de l’être, à travers le romantisme. Il fouille ainsi la rédemption de l’âme du personnage. En conséquence, Victor Hugo a plus de succès que Laoshe dans l’expression artistique.

Bibliographie

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[Cheng Jingshu. La lumière et l’ombre. Pékin : La presse de Littérature Populaire, 1957. ]

老舍. 《骆驼祥子》. 北京:人民文学出版社,1999.

[Laoshe. Le tireur de pousse. Pékin : La presse de Littérature Populaire, 1999. ]

柳鸣九. 《雨果论文学》. 上海:上海译文出版社,2007.

[Liu Mingjiu. La théorie littéraire de Victor Hugo. Shanghai : La presse de Traduction de Shanghai, 2007. ]

茅盾. 《世界文学名著杂谈》. 北京:百花文艺出版社,2001.

[Maodun. La discussion sur les chefs-oeuvre de la littérature mondiale. Pékin : La presse littéraire de Baihua, 2001. ]

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