从创作主题与创作特色看《暗店街》与《万寿寺》

 2023-08-24 10:08

论文总字数:30636字

摘 要

对王小波写作产生重大影响的作家有很多,莫迪亚诺不是最出名的那个,然而不可否认的是在内在意蕴和整体结构方面,《暗店街》可以说是《万寿寺》不可或缺的催化剂。莫迪阿诺的《暗店街》是王小波在《万寿寺》中设置的一个“陷阱”,引发了王小波的想象,进而促成了《万寿寺》的诞生。本文将会从两大部分来分析比较这两部作品:第一部分会选取记忆这个意象来研究这两部小说,以此来更深层次地对比、分析这两部作品的主题;第二部分将会通过比较这两部作品的叙事结构来分析他们的创作特色和创作风格,以此来分析这两位作者所在的文学时代和当时的文学思潮对他们写作所产生的影响,从而来说明《暗店街》与《万寿寺》之间的内在联系。最终目的,则是通过研究这两部作品来重新认识莫迪亚诺,王小波,进而了解法国新小说对中国先锋小说的影响。

关键词:滑稽模仿;记忆;新小说;后现代主义;中国先锋派

Table des matières

1. Introduction 1

2. Les grandes lignes du roman 1

2.1 Le résumé de Rue des boutiques obscures 1

2.2 Le résumé de Temple Wanshou 3

3. Comparaison de la connotation du thème 5

3.1 Comparaison d’image de « souvenir » 5

3.2 Comparaison de la connotation du nom de ces deux romans 6

3.3 Conclusion du thème 6

4. Comparaison du caractère de ces deux œuvres 7

4.1 Comparaison de la structure narrative 7

4.2 Comparaison du style d’écriture 9

5. Conclusion 11

Bibliographie 13

Introduction

« L’imitation parodique » vaut dire quoi ? Martin Wallace a dit dans son œuvre « La narratologie contemporaine » : « L’essence de l’imitation est un phénomène du style littéraire, ça vaut dire l’imitation ampoulée d’un écrivain ou des style littéraire. Le symbole de ce phénomène est l’écriture, la structure ou le thème infidèle. » (Wallace Martin 1999) En un mot, l’imitation parodique est une déconstruction et remoulage. Comme Yu Hua a dit : « N’importe quel grand écrivain, il a jamais imité des écrivains fameux avant lui. Comme Jorge Luis Borges pense que Nathaniel Hawthorne est le précurseur de Franz Kafka, néanmoins, le précurseur de Franz Kafka n’est que Nathaniel Hawthorne. En même temps, Jorge Luis Borges pense que « l’endettement » est mutuel dans le domaine littéraire, comme l’écriture extraordinaire de Franz Kafka peut aider les gens reconnaître la valeur de d’œuvre de Nathaniel Hawthorne qu’il s’appelle Histoire Actualisé.  A cet égard, Patrick Modiano et Wang Xiaobo est aussi un exemple de « L’endettement » littéraire. Dans cet essai, on va profondément comparer ces deux écrivains et ses œuvres afin d’exposer la liaison entre la littérature française et la littérature chinoise.

Les grandes lignes du roman

2.1 Le résumé de Rue des boutiques obscures

Rue de boutiques obscures est un œuvre écrit par Patrick Modiano. Patrick est l"auteur d’une trentaine de romans primés par de nombreux prix prestigieux parmi lesquels le Grand prix du roman de l"Académie française et le prix Goncourt. Axée sur le Seconde Guerre Mondiale, beaucoup des œuvres de Monsieur Modiano utilisent un grand nombre de mémoire et d’imagination. Monsieur Modiano amie combiner la réalité et la virtualisation pour décrire une histoire qu’il ne connait pas. En 1968, il publiait son début La Place de l’Etoile qui a gagné beaucoup de prix littéraire. Et ensuite, il a écrit quantité des œuvres comme Villa triste, Dora Bruder, Un pedigree et Rue de Boutiques obscures. Et après, il écrit, avec le réalisateur Louis Malle, le scénario du film Lacombe Lucien.

Parmi ces œuvres, Les boulevards de Ceinture et Le Rue de Boutiques obscures sont les plus fameux, ils ont gagné le Grand prix du roman de l’Académie et le prix Goncourt respectivement. Axée sur l"intériorité, la répétition et la nuance, son œuvre romanesque se rapproche d"une forme d"autofiction par sa quête de la jeunesse perdue. Elle se centre essentiellement sur le Paris de l"Occupation et s"attache à dépeindre la vie d"individus ordinaires confrontés au tragique de l"histoire et agissant de manière aléatoire ou opaque (Le Figaro, 9 octobre 2014). Comme un écrivain qui est active dans les cercles littéraires français, Patrick Modiano est considéré un écrivain favori d’un nombre de lecteurs français et l’un de l’écrivain le plus brillant dans les yeux des critiques françaises.

Bien que le nom de Patrick Modiano ne soit pas connu pour les chinois, mais Wang Xiaobo, un écrivain décédé qui est très connu pour les chinois, lui tient en haute estime autrefois. Il lui pense un grand écrivain comme Italo Calvino, Günter Grass, et Marguerite Duras. Le 9 octobre 2014, son œuvre est couronnée par le prix Nobel de littérature pour « l"art de la mémoire avec lequel il a évoqué les destinées humaines les plus insaisissables et dévoilé le monde de l"Occupation », comme l"expliquent l"Académie suédoise et son secrétaire perpétuel Peter Englund, qualifiant l"auteur de « Marcel Proust de notre temps ». Six ans après Jean-Marie Gustave, il devient le 15e homme de lettres français à recevoir cette récompense. Son œuvre est traduite en 36 langues, comme un œuvre qui a gagné le prix Goncourt et le prix Nobel, Rue des Boutiques obscures est les plus connus pour les gens. Cet œuvre nous raconte une histoire de chercher le mémoire.

Dans cet œuvre, Guy Roland, le personnage principal, est un détective qui après la retraite de son patron, Hutte, décide de partir en 1965 à la recherche de sa propre identité qu"il a perdue après un accident mystérieux qui l"a laissé amnésique depuis plus de 15 ans. Remontant les pistes ténues de son passé qui semble s"arrêter pendant la Seconde Guerre mondiale, il apprend qu"il se nomme Jimmy Pedro Stern, un grec-juif de Salonique vivant à Paris sous un nom d"emprunt, Pedro McEvoy, et travaillant pour la légation de la République dominicaine. Ce Pedro McEvoy était entouré d"amis, Denise Coudreuse un mannequin français qui partage sa vie, Freddie Howard de Luz un Anglais de l"île Maurice, Gay Orlow une danseuse américaine d"origine russe, André Wildmer un ancien jockey anglais, qui tous ensemble décidèrent en 1940 de se rendre à Megève afin de fuir un Paris devenu de plus en plus oppressant sous l"Occupation allemande. Denise et Pedro avaient décidé de partir au Portugal via la Suisse en payant des passeurs (Oleg de Wrédé, un russe et Robert Besson, un moniteur de ski) lesquels les abandonnèrent dans la montagne, les laissant seuls, chacun de leur côté, perdus dans la neige.

Guy Roland décide de retrouver Freddie qui est allé vivre en Polynésie après la guerre. Au moment où il arrive à Bora Bora, il apprend que celui-ci a disparu dans un naufrage quelques jours plus tôt. Il ne reste plus à Guy-Pedro Stern qu"une dernière piste pour renouer les fils de son passé : une adresse qu"il aurait occupée à Rome, dans les années 1930, au 2, rue des Boutiques obscures.

Dans cet œuvre, le personnage principal ressemble à un ombre amnésique, cet ombre est subtil et il n’a pas un nom ou une source. Pour la société, le personnage principal n’a pas un individu indépendant, il n’est qu’un état supplémentaire des autres personnes et qu’on ne sait pas pourquoi qu’il existe. Dans Rue des Boutiques Obscures, le personnage principal n’a pas un nom fixé, donc, son patron Hutte lui appelle Guy Roland. Pourtant, dans la description de Hélène Pilgram, le personnage principal s’appelle Pedro McEvoy. Tout le monde sait que le nom est une étiquette culturelle. Par conséquent, si on ne peut pas définir un nom fixé, on ne peut pas définir le soi-même.

De ce fait, le personnage principal fait tous ses efforts pour chercher le mémoire de la frontière de Suisse à l’île de l’océan Pacifique et 2, Rue des Boutiques obscures afin de chercher son identité. Il se révolte contre la société française occupé par l’Allemagne à long terme des efforts inlassables. A la fin de l’œuvre, la seule piste importante s’interrompt. Il est réduit à finir chercher les pistes ou son mémoire. Monsieur Modiano nous laisse une suspense.

2.2 Le résumé de Temple Wanshou

Quant à le roman Temple Wanshou, son auteur est Wang Xiaobo. Il est l’un des écrivains qui est riche de créativité et il est un génie cristallisé par la souffrance et l’absurde d’un demi-siècle de la chine. Ses œuvres se moquent de tous les malheurs et l’absurde dans notre vie radicalement. Et d’ailleurs, il fait les choses qu’on veut faire, mais ne fait pas dans notre vie : il rejette la tradition de la littérature chinoise qui est faible, triste et flatteur. Il absorbe l’esprit critique de Russell et Italo Calvino et le combine avec l’esprit ludique dans le roman antique de la chine. L’œuvre de Wang Xiaobo sont très spéciative et riche d’imagination. Hors cela, il ne manque pas notamment de l’esprit rationnel dans ses œuvres Trilogie d’Epoque qui est construit par L’époque d’Or, L’époque d’Argent et L’époque de Bronze. Il raconte les histoires qui décrit l’état des humains en un ton de plaisanterie et humour pour écrire la distorsion et le stress du pouvoir à propos du désir de créer et demande humaine. En ce qui concerne le fond d’histoire qui passe au-dessus des époques variées expose les de la chine.

En fait, le génie de Wang Xiaobo qui sort du commun est de la narration dialogique qui passe au-dessus de l’antiquité et la société contemporaine. Un écrivain fameux qu’il s’appelle Zhe Fu a estimé de lui : « Un plûpart de gens tiennent Wang Xiaobo en haute estime, mais l’autre part de gens pense que les œuvres de Wang Xiaobo sont des choses canailles et les intellectuels qui se considèrent des écrivains orthodoxes n’aiment pas ses œuvres. » Beaucoup des gens dire qu’ils aiment les œuvres de Wang Xiaobo, mais on pense qu’ils aiment la rébellion de la société et sa liberté. Depuis 1997 où il sortit de la vie, les gens fait amplement attention à lire et discuter ses œuvres et provoque une tendance de « Wang Xiaobo ».

A propos de Temple Wanshou qui compris dans son œuvre L’époque de Bronze, l’adaptation de La Biographie de Hong Xian, cet œuvre raconte une histoire romantique et fantastique. Dans Temple Wanshou, il y a deux personnages principals et deux pistes qui lient tous les histoires dans les espaces différentes. Le personnage principal qui vit dans la vie contemporaine s’appelle Wang Er, il cherche le mémoire qu’il perd après l’accident de la voiture ; en même temp, il lit et reprend l’histoire d’un autre personnage principal qu’il s’appelle Xue Song. L’histoire de Xue Song et Hong Xian qui se passe dans un monde parallèle de livre, elle raconte des événements carnavalesques qui a lieu dans le Village Feng Huang.

Dans cet œuvre, Wang Xiaobo brise la structure de la narration traditionnelle qu’il s’appelle « la narration en ligne ». Il détruit l’histoire originale en une forme moderne et jette une confusion dans les espaces du temps. On peut diviser le livre en trois parties, du chapitre un au chapitre trois est la première partie, dans cette partie, elle raconte les histoires qui se passe dans le manuscrit écrit par Wang Er avant l’accident de la voiture qui conduit à son amnésie ; du chapitre quatre au chapitre sept est la deuxième partie, dans cette partie, le personnage Wang Er a cherché l’identité et il détruit et excave le manuscrit original profondément ; et enfin, le chapitre huit est la dernière partie, elle raconte le contraste entre le personnage idéal qui vit dans Chang’an et le personnage réel qui vit dans Pékin. Cette partie est le conclusion et l’approfondissement des parties avant. Le personnage principal dans la vie réelle s’applique à rechercher le monde poétique, mais la réalité est qu’il n’y a pas du monde poétique. Finalement, tous les choses deviennent vulgaires et chagrinés.

Dans Temple Wanshou, Wang Xiaobo repousse la réprimande de la moralité. Il déteste la société féodale fallacieuse et maniérée, et après, il méprise l’humeur générale de la société médiocre et vulgaire. Dans son œuvre, il se moque des gens, comme Xue Song, la prostituée vielle et la tenancière de maison dans le manuscrit original, qui sont à cheval sur l’étiquette de la société féodale. Dans cette œuvre, on peut connaître la théorie d’anti-moralité de Wang Xiaobo : il fait cas du nu et du sexe. Le personnage principal dans le roman, Xue Song et Wang Er, ils sont tous suivent l’individualité, aiment ardemment la liberté et vivent avec le concept de valeur et de la vie. Et d’ailleurs, ils ont des capacités de considérer indépendant et rester l’indépendance de la moralité quand on affronte la réalité. Tous les personnages principals peut refléter la poursuite de la liberté. Wang Xiaobo utilise les impressions de lui-même pour décrire un monde idéal qui est rempli des images magnifiques et élégants. Dans ce monde, il n’y a pas de règle du monde réel, tous les choses et tous les gens sont les plus libres et les plus extravagant.

Comparaison de la connotation du thème

3.1 Comparaison d’image de « souvenir »

Tout d’abord, on compare l’image « la mémoire » dans Rues des boutiques obscure et celle de Temple Wanshou.

Pour Modiano et Wang Xiaobo, ils tous croyait une réalité qu’on ne peut pas échapper la mémoire du passé. Mais la connaissance de Modiano et celle de Wang Xiaobo sont différentes. Pour Modiano, il pensait que la mémoire est une aspiration de la vie du passé, et le personnage principal de Rues des boutiques obscures veut recueillir spontanément des informations pour chercher la mémoire du passé et sa vraie identité. Il estime que la mémoire est une bonne image.

Contrairement, pour Wang Xiaobo, la mémoire comme un cadavre décomposé, le personnage principal de Temple Wanshou déteste le souvenir du passé, il ne veut pas le retrouver. A l’origine, il peut chercher sa mémoire facilement parce qu’il y a beaucoup des témoignages qui peut lui aider. Mais il échapper la réalité et il se cacher dans le monde idéal qu’il a créé.

3.2 Comparaison de la connotation du nom de ces deux romans

Pour Guy, Rue des boutiques obscures est le lieu de sa naissance et son pays natal. Jusqu’au moment où on les trouve, on peut dévoile le secret de son identité. Dans le roman, Rue des boutiques obscures implique la source et la destination de sa vie et aussi l’existence de lui-même.

D’après le personnage principal de Temple Wanshou, le temple n’est que la « cellule institutionnel » qui se trempe dans « la matière fécale », mais aussi « le cordon ombilical historique » qui est très faible et un cauchemar qu’on ne peut pas échapper. L’ombre de Temple Wanshou est partout et il ne peut pas le s’enfuir. Le temple est la miniature des images carnavalesques dans le roman comme « les murs invisibles » et « les châteaux » sous le stylo de Kafka. Ils sont partout sans limite et on ne peut pas traverser.

3.3 Conclusion du thème

Et après, on va comparer le thème entre ces deux romans. N’importe quel roman, Rue des boutiques obscures ou Temple Wanshou, tous les deux sont axé sur un problème « Qui suis-je ? ». Mais la nature de ce problème pour Modiano et Wan Xiaobo est différente.

Sous le stylo de Modiano, la nature de ce problème est un symptôme mental qui existe universellement dans la société contemporaine après la Seconde Guerre mondiale-----la crise d’identité culturelle. Comme Modiano a écrit dans son œuvre « Ainsi, Hutte me citait-il en exemple un individu qu’il appelait l’« homme des plages ». Cet homme avait passé quarante ans de sa vie sur des plages ou au bord de piscines, à deviser aimablement avec des estivants et de riches oisifs. Dans les coins et à l’arrière-plan de milliers de photos de vacances, il figure en maillot de bain au milieu de groupes joyeux mais personne ne pourrait dire son nom et pourquoi il se trouve là. Et personne ne remarqua qu’un jour il avait disparu des photographies. » « Le sable – je cite ses propre termes –ne garde que quelques secondes l’empreinte de nos pas » (Patrick Modiano 1978), Guy est un « homme des plages », il reste et passe sa vie dans ce monde, mais peu de personne peut dire son nom et pourquoi il se trouve là. Et personne ne remarqua qu’un jour il avait disparu. Il n’a pas un de mémoire ou de source. De ce fait, le processus de chercher son souvenir est un processus de chercher son identité et l’expiation de lui-même. En fait, Guy n’essaye que de chercher le souvenir et le passé, mais aussi sa vraie identité et le témoignage qu’il existait autrefois dans ce monde.

Et en ce qui concerne Wang Xiaobo, la substance du problème « Qui suis-je » est axé sur « la nature humaine ». Le personnage principal de Temple Wanshou déteste l’académisme, la tradition et le monde logique. Il donc échappe le monde ignorant, neutre, ennuyeux et essaye de chercher la nature humaine dans son manuscrit. Par conséquent, le processus de retrouver souvenir est un choc du monde réel et du monde idéal. Il veut chercher la nature humaine, n’est pas le souvenir. Dans une certaine mesure, Temple Wanshou démonte la connotation inhérente de « chercher le soi-même » : pour le personnage principal de Temple Wanshou, il est douloureux de chercher le souvenir du passé puisque le contraste entre la réalité et l’imagination va le laisser mélancolique. Mais Wang Xiaobo n’abandonne pas de chercher le souvenir dans son roman, en d’autres termes, il n’abandonne pas de chercher la nature humaine dans son roman.

Comparaison du caractère de ces deux œuvres

4.1 Comparaison de la structure narrative

Ensuite, on va comparer la forme de chercher la mémoire.

A première vue, la structure de raconter est ressemblé, ils ont tous deux pistes et ses personnages principale tous perdent ses mémoires. Mais la cause qui conduit à l’amnésie de Guy est de l’attaque d’esprit. Cependant, le personnage principal de Temple Wanshou qui s’appelle « Je » perds sa mémoire car l’accident de voiture.

Pour Guy, il ne veut pas explorer dans son esprit. Au contraire, il chercher des témoignages désordonnés comme des photos ou des carnets anciennes à l’idée de réduire les images du passé qui se reste dans son imagination. Globalement, cette histoire est plongée dans l’ombre et enveloppé de mystère. En effet, derrière les intrigues du roman qu’ils ont l’air triste, il se cache des espoirs de rechercher son identité. A la fin du romain, l’écrivain laisse un suspense et une envie pour les lecteurs----on ne sait si Guy a retrouvé son identité. Cette fin ouverte se ressemble comme la lueur pour les gens qui se bloque dans une grotte sombre depuis longtemps. Sous le stylo de Modiano, la réalité se superpose et se mêle avec le souvenir. Le processus de chercher le souvenir est un processus que Guy s’approche de l’image de son passé. En plus, ce processus aussi un processus de sauver et accepter lui-même.

Pour le personnage de Temple Wanshou, il perd sa mémoire à cause de l’accident de voiture. Il peut collectionner les témoignages pour récupérer sa mémoire, mais il déteste le souvenir du passé, donc il évite de se souvenir du passé. Il s’enfuit de la réalité et mets ses propres pensées et sentiments dans la personnalité du héros de son manuscrit qui s’appelle Xue Song. Le personnage principal veut créer un caractère complètement libéral. Mais, le fait et l’imagination va à l’encontre de sa vie. Il découvrit rapidement que le développement de l’histoire s’écarte de son propre résultat escompté. En outre, le portrait de Xue Song est à l’antipode de sa pensé. Par conséquent, il renverse l’histoire écrit et réécrit un personnage flambant neuf. Dans le manuscrit du personnage principal, il crée un portrait idéal qui peut satisfaire son imagination et il se plonge dans le monde romantique qu’il a créé. Il utilise des mots ignobles pour se moque la logique et se révolter contre la réalité. Cependant, quand le rêve est brisé, comme Wang Xiao Bo a écrit « Quand tout se réduire en réalité irréparablement, mon histoire arrive à son terme, le moi-même réel et celui du passé se fusionne. Les événements qui se passe dans la ville de Chang ’an se termine et tout se tourne vers le vulgaire. » (Wang Xiaobo 1997) Le personnage principal sous le stylo de Wang Xiaobo s’oriente infiniment vers le héros de son manuscrit. Mais quand il réveille, tout se rétablit la réalité et il ne peut pas échapper la vraie vie.

En un mot, pour Guy, il tend à chercher son souvenir par des choses objectives dans sa vie. Mais pour le personnage principal de Temple Wanshou cherche son souvenir par écrire, il pense que l’écriture est une activité poétique et une méthode de créer un monde poétique. On peut seulement trouver le moyen de imagine appartient à lui-même dans le poème et écriture et on peut libérer notre nature humaine dans l’écriture.

Dans le roman Rue des boutiques obscures, il y a beaucoup des lettres, des matériaux, des attestations sur l’identité, et des bottins. Entre autres, même qu’il y a quelque extraits de l’annuaire sont lus indépendamment l’un de l’autre dans le roman. Toutes ces choses composent le texte sublinéaire qui se mêle avec le texte principal établit des images dépareillées et chimériques. Modiano utilise un effet de montage en ces deux genres de textes pour établir une atmosphère mystique. Et à propos du roman Temple Wanshou, il parodie la structure narrative. En plus, il ajoute la métafiction (un moyen d’expression) pour bien déconstruire la structure narrative du roman Rue des boutiques obscures et rétablir un monde romantique, libéral et brillant. Le langage et l’imagination de ce roman est plus hardi que ceux de Rue des boutiques obscures. Ce roman est le monologue intérieur d’écrivain et la résistance de la réalité.

4.2 Comparaison du style d’écriture

Finalement, on va combiner la tendance idéologique pour analyser la liaison entre les deux œuvres. Quand on parle du mouvement littéraire, on ne peut pas contourner le fond de l’ère que le roman se basse sur.

Avant tout, Rue des boutiques obscures est écrit dans les années 1980. A cette époque, il y a deux tendances idéologiques existe en France----le Modernisme et le postmodernisme. En plus, l’antiroman atteint son apogée. Jusqu’au moment où on lit Rue des boutiques obscures, on peut découvrir facilement que la composition de sa « descendance » est très compliquée. Pour la structure narrative, Rue des boutiques obscures s’inspire des moyens d’écrire qui est issue de l’école moderniste comme la fragmentation et l’extrait composite. Il utilise aussi la texture narrative postmoderne----toute cette histoire ne s’étend selon le temps, mais toute sortes de personnages et toute sortes de temps se mêlent mutuellement. La narration est chaotique, libéral et carnavalesque. La méthode d’écriture est tandis qu’influencé profondément par l’antiroman. Ce roman est narré du point de vue du personnage principal, à la première personne et il confond consciemment la vérité et le faux. Il ne s’encroûte dans la syntaxe traditionnelle et il fait beaucoup attention à écrire la substance matérielle. Cependant, Modiano n’imite que l’antiroman, il ajoute aussi des éléments de lui-même. Il ne ressemble pas aux écrivains qui insiste seulement sur jongler avec les mots. Il aussi réfléchir le problème de la société et critique la réalité. Toute l’histoire semble chimérique, mais n’est pas pessimiste. Modiano ne suit que la description objective, mais aussi fait beaucoup d’attention à écrire la liaison entre les choses objectives pour réduire l’imagination sur le souvenir du passé de Guy. Comme on dit que Rue des boutiques obscures est un œuvre moderniste et postmoderniste.

Et après, Temple Wanshou est écrit dans les années 1990. A cette époque, le postmodernisme prospère en chine et l’antiroman donne un nouvel élan en Chine. Influencé par l’antiroman, la littérature chinois surgit une nouvelle école littéraire-----le Roman d’avant-garde chinois. Il est aisé voir que Temple Wanshou s’accorde extrêmement avec le Roman d’avant-garde. Comme on dit dans les paragraphes ci-dessus, il utilise la structure de la métafiction pour déconstruire et rétablir un œuvre romantique et un monde idéal. Pour Wang Xiaobo, la littérature est un jeu de jouer les mots, tout est infiniment libéral. Il n’attache pas de l’importance à la logique du langage ou de la réalité. Il veut plutôt exprimer son propre sentiment intérieur et explorer la forme artistique. Il tend à raconter une histoire tranquillement. Il n’estime pas si les personnages sont bons ou mauvais, noble ou humble. Pour lui, exprimer ce qu’il veut dire, ce qu’il veut faire et ce qu’il veut réfléchir. Il ne fait qu’attention à la propre expression et narration.

Conclusion

A tout prendre, Rue des boutiques obscures et Temple Wanshou ont des choses similaires. Les personnages principaux sont tous perdent ses souvenirs et leurs intrigues (le personnage retrouver son souvenir), leurs méthodes narratives (deux pistes narratives) sont analogues, mais leurs connotations culturelles ne sont pas semblables. Wang Xiaobo s’inspire de Rue des boutiques obscures, et il utilise l’imitation parotique pour déconstruire et rétablir son propre œuvre Temple Wanshou. Et d’ailleurs, les lecteurs connaissent Modiano et Rue des boutiques obscures. En conséquence, on dit que Temples Wanshou est un « descendant » de Rue des boutiques obscures. Et on peut dire aussi que le Roman d’avant-garde chinois est un « descendant » de l’antiroman français.

Evidemment, Temple Wanshou est influencé par Rue des boutiques obscures, mais il n’est pas une copie sommaire. Comme le savant Dai Jin Hua a dit : Rue des boutiques obscures est un « piège » de lire qui est installé par Wang Xiaobo. Il imite Rue des boutiques obscures en même temps il renverse irrépressiblement de la logique du monde littéraire et d’ordre établi. Et puis, il crée un nouveau monde auquel on peut trouver la libération et la nature humaine. Il prend Rue des boutiques obscures comme marchepied pour son écriture. Il utilise le langage dramatique pour décrire des images magnifiques et extravagant. En outre, il ajoute l’humeur noir dans son écriture. Enfin, le carnaval du monde littéraire se débarrasse du joug « académisme ». Enfin, Wang Xiaobo subvertit la logique du monde réel et rétablit un monde libéral, idéal, frénétique et magique. Et ça, c’est l’imitation parotique de Temple Wanshou. (Wang Meng 1999)

Pour Wang Xiaobo et Modiano, leurs cadres de la vie ne sont pas pareils, ils ont donc opinions différentes sur la réponse de la même question. Dans Temple Wanshou, on peut découvrir beaucoup des styles d’écriture de Wang Xiaobo : la moquerie de la réalité par une description grotesque, l’adoration et la désire du « monde poétique ». En plus, dans beaucoup de ses œuvres, toutes les choses objectives s’entrelacent avec le paradis idéal et le récit est polyphonique. Mais, ces styles d’écriture s’éparpillent dans l’œuvre différent. C’est Rue des boutiques obscures et des autres œuvres occidentales qui inspirent Wang Xiao Bo de foudre toutes ces matériaux et la technique dans la même œuvre. Et d’ailleurs, Wang Xiaobo imite le moyen de raconter l’histoire de Modiano et combine ses propres expériences de sa vie. Il ose d’essayer les nouvelles méthodes pour élaborer son ouvrage. Il prendre les éléments dans Rue des boutiques obscures, puis il les s’approfondit et les s’apprécie. On peut dire que Modiano est un écrivain édifiant, ses œuvres et les œuvres des autres écrivains occidentales ont inspiré l’écriture de Wang Xiaobo et conduire à la naissance de Temple Wanshou.

Bibliographie

Alain Robbe-Grillet, L’antiroman.

Le Figaro, 9 octobre 2014

Patrick Modiano, Rue des boutiques obscures, Gallimard, 1982-3-4.

Wallace Martin, La narratologie contemporaine, Edition de Pékin Université, 1990.

戴锦华:《智者戏谑——阅读王小波》,《不再沉默——人文学者论王小波》,光明日报出版社 1998.

[Dai Jinghua. “Le ridicule des hommes intelligents, Ne pas garder le silence-le savant critique Wang Xiaobo” Edition de Guangming Daily (2016).]

王小波:《万寿寺》 北京文艺出版社 1997

[Wang Xiaobo. “Temple Wanshou.” Edition de Beijing Littérature (2007).]

王蒙:《中国的先锋小说与新写实主义》 当代作家评论1999

[Wang Meng. “Le Roman d’avant-garde chinois féminins et le nouveau réalisme.” Edition de L’essai de l’écrivain contemporaine (2016).]

余华:《文学与文学史》,上海古籍出版社,1999.

[Yu Hua. “La littérature et L’histoire de littérature.” Shang hai, Editions du Livre ancien (2017).]

杨凤鸣:另一声呐喊——浅析王小波《万寿寺》对自由主义的坚持[J]名作欣赏.2013

[Yang Fengming. “l’autre cri-analyser Temple Wanshou pour analyser sommairement la persistance de Wang Xiaobo.” Edition de l’admiration des œuvres fameux (2013).]

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