论《羊脂球》中人性的美与丑

 2023-06-15 04:06

论文总字数:32289字

摘 要

《羊脂球》通过描写羊脂球的悲惨遭遇,抨击了那些所谓高贵的人的贪婪、自私、荒淫、无耻,揭露了资本主义面具下的丑恶肮脏的灵魂。以羊脂球这样一个受侮辱的妓女形象为代表,歌颂了法国群众敢于反抗入侵者的巨大勇气、维护国家民族利益的爱国情怀以及纯朴热情、乐于助人的真善美,谴责那些所谓的上层高贵人士的软弱、虚伪。本课题首先从介绍莫泊桑和《羊脂球》的写作背景及简要内容介绍入手,着重从人性的美与丑两方面对小说中的人物形象进行了鲜明的对比分析,并在最后一部分得出这部小说给我们带来的现实意义。

关键词:莫泊桑;羊脂球;美好的人性;丑恶的人性

Table des matières

1. Introduction 1

2. Le contexte historique du Boule de Suif 1

2.1 Guy de Maupassant 1

2.2 Contexte du roman Boule de Suif 2

3. L’analyse des personnages du Boule de Suif 4

3.1 Présentation du roman Boule de suif 4

3.2 Les élites et la laideur de l’humanité 5

3.2.1 Les Loiseau, les Carré-Lamadon et les Bréville 5

3.2.2 Le démocrate 7

3.2.3 Les religieuses 7

3.2.4 La laideur de l’humanité 8

3.3 La prostituée et la beauté de l’humanité 9

4. La signification réaliste et l’introspection 10

4.1 Les actions patriotiques 10

4.2 La beauté ou la laideur 11

5. Conclusion 12

Bibliographie 14

1. Introduction

A égalité avec Tchekhov et O. Henry, un des trois grands maîtres de courte histoire du monde, Guy de Maupassant (1850-1893) est un écrivain français de la seconde moitié du 19 siècle. Lié à Gustave Flaubert et à Emile Zola, Guy de Maupassant a marqué la littérature française par ses six romans, dont Une vie en 1883, Bel-Ami en 1885, Pierre et Jean en 1887-1888, et surtout par ses nouvelles comme Boule de suif en 1880. Ces œuvres retiennent l’attention par la présence importante du fantastique, les pensées réaliste et par le pessimisme qui s’en dégage le plus souvent, mais aussi par la maîtrise stylistique. Pendant la guerre franco-prussienne, en 1880, d’après son expérience personnelle, il a publié sa première nouvelle Boule de suif.

Dans cet article, je vous présente d’abord l’auteur Maupassant concernant son expérience qui a grand effet sur ses articles, inclus Boule de suif. L’auteur a écrit dix personnes dans la nouvelle. Ils sont différents l’un de l’autre. Tous présentent des diverses classes que Maupassant a observées dans la société. A la fin de mon article, je veux dire des significations réalistes et l’introspection que j’ai eues après ma lecture.

2. Le contexte historique du Boule de Suif

2.1 Guy de Maupassant

Guy de Maupassant est un écrivain français né le 5 août 1850 au château de Miromesnil à Tourville-sur-Arques (Seine-Inférieure). Sa mère fut une femme d’une culture littéraire peu commune, aima beaucoup les classiques, particulièrement Shakespeare. Elle essaya de guider son fils à lire et à écrire et devint son premier professeur de la création. L’oncle de Maupassant fut poète et romancier. Sous l’influence d’un tel environnement familial, Maupassant aima la littérature depuis son enfance. Selon le souhait de sa mère, à l’âge de 13, il fut pensionnaire de l’Institution ecclésiastique d’Yvetot. C’était en ces lieux qu’il commençait à versifier. Il est alors inscrit au lycée de Rouen, où il se montra bon élève. A cette époque, il côtoya Louis Bouilhet et Gustave Flaubert, dont il devint le disciple. Bachelier des lettres en 1869, il partit étudier le droit à Paris sur le conseil de sa mère et de Flaubert. Bientôt, la guerre franco-prussienne éclata et il s’enrôla comme volontaire. Après la guerre, il paya un remplaçant pour achever à sa place son service militaire et quitta la Normandie pour s’installer durablement à Paris. Comme son expérience de la guerre et son commis d’abord au ministère de la Marine puis au ministère de l’Instructionoubli publique, il connut bien la société française et accumula beaucoup de matériaux pour la création future. Le connu auteur Gustave Flaubert, un ami de sa mère et son oncle, fut son mentor littéraire, guida ses débuts dans le journalisme et la littérature. Ce professeur sévère exigea strictement de Maupassant, ce qui eu un impact significatif pour ses œuvres futures. Dans les exigences strictes et les soigneuses cultivées de Flaubert, Maupassant étudia infatigablement. S’étant lié avec Zola que Maupassant rencontra chez Flaubert, il participa en 1880 au recueil collectif des écrivains appartenant aux Ecoles naturalistes et réalistes. Les Soirées de Médan avec sa première nouvelle, Boule de suif, qui remporte d’emblée un grand succès et que Flaubert qualifie de «chef d’œuvre qui restera». Plus tard, Maupassant respecta Tourgueniev vécu en France pour l’enseignant, avec un esprit ouvert.

Pendant à peine une décennie, il a publié environ 300 nouvelles courtes, six romans, trois récits de voyage, ainsi qu’un grand nombre d’essais littéraires et des commentaires politiques avec son enthousiasme exubérant et rythme incroyable. Infesté de maladies à son vieillesse, souffrant de schizophrénie, il fait une tentative de suicide. Le 6 juillet 1893, il meurt de paralysie générale à l’âge de 43.

Maupassant est l’écrivain qui a le plus grand nombre d’histoires courtes et la plus grande réalisation dans l’histoire de la littérature française: il est unique d’écrire plus de 300 histoires courtes au 19e siècle. Il a mis l’art de la courte histoire de réalisme élevé à un niveau sans précédent. Sa position importante dans l’histoire de la littérature est établie par sa réalisation de ses histoires courtes, connu comme le loi des histoires courtes.

Boule de Suif de Maupassant l’a rendu célèbre. Il a dit «Je suis entré dans la littérature comme un météore» et Flaubert l’a qualifié de «chef d’œuvre qui restera».

2.2 Contexte du roman Boule de Suif

Boule de suif répond aux critères de la nouvelle réaliste. L’action prend place au cœur de l’Histoire, dans des lieux connus. Tous les détails sont scrupuleusement décrits de sorte à donner l’illusion complète du vrai, et les personnages sont présentés dans leur milieu social.

«Pendant plusieurs jours de suite des lambeaux d’armée en déroute avaient traversé la ville. Ce n’était point de la troupe, mais des hordes débandées.» L’histoire de Boule de suif se déroule en 1870, durant la guerre franco-prussienne. Les Français, sous le règne de Napoléon III, ont perdu la guerre face aux prussiens. En 1870, à cause de la corruption du gouvernement français et l’incompétence militaire, la France était en plein débâcle. Les Prussiens assiégeaient la France et plus particulièrement Paris et la Normandie. C’est l’incompétence, la corruption et l’égoïsme du régime bourgeois français qui causaient l’échec de cette guerre et la honte nationale.

La nouvelle, à travers le sort misérable de Boule de suif, une prostituée insultée et compromise, révèle l’âme sale et laide du capitalisme, ainsi que la droiture, le patriotisme et le bon cœur des peuples français qui osent résister aux envahisseurs prussiens. Le conte, centrant sur le scandale que Boule de suif sont poussé dans la fosse de feu par les compagnons de voyage de même voiture, accuse les représentants de la classe dirigeante―marchands, nobles, directeur d’usine et sénateur, démocrate, nonnes qui sont les différents rôles de la classe haute de société―dans le moment critique de songer à la sécurité personnelle et les pertes pécuniaires au lieu de l’avenir du pays et la dignité de la nation. Quand leurs vies et biens sont menacés, ils prennent absolument la philosophie de la vie, en disant que «Il ne faut jamais résister aux gens qui sont les plus forts». Bien qu’ils connaissent que des demandes déraisonnables de l’ennemi sont la honte de la France et les Français, ils montrent une posture furieuse sur la surface, en effet, quand l’intérêt national est contre l’intérêt personnel, ces autorités qui gardent leur honneur tournent vers l’ennemi immédiatement sans hésiter et poussent Boule de suif avec deux mains à l’ennemi. En particulier, plus irrité, ce sont les deux nonnes soi-disant représentants le Dieu qui sont aussi malades. Quant au démocrate Cornudet, en fredonnant La Marseillaise à résister à l’envahissement, obtient l’avantage sans effort. Ce sont quelques démonstrations claires et vives qui montrent les laids comportements de ces gens décents en collusion ensemble et qui ont une grand signification résumée.

A la fin de la guerre franco-prussienne, les Prussiens continuèrent tout droit jusqu’à Paris, investirent Paris avec 2 000 000 de soldats. Les peuples français se sont levés pour défendre la patrie. On compte sur le gouvernement, mais il capitule, demande l’armistice à l’ennemi.

Les personnages de la nouvelle sont les vrais portraits de ceux des divers milieux sociaux. L’œuvre analyse les pensées des élites et leurs psychologies profondes, ainsi que l’analyse et le critique impitoyable.

3. L’analyse des personnages du Boule de Suif

Les personnages de la nouvelle représentent toute la société française. Il est clair que Maupassant a voulu montrer les diverses classes sociales et un riche éventail de types humains.

3.1 Présentation du roman Boule de suif

La nouvelle met en scène pendant l’hiver de la guerre franco-prussien de 1870. Après la débâcle française, certains Rouennais fuient en diligence Rouen qui est occupée par les Prussiens pour leurs biens et leurs commerces.

Dans la diligence, il y a des commerçants, des grands bourgeois, les Loiseau et les Carré-Lamadon, des nobles, les Bréville, deux religieuses, un démocrate, Cornudet, et une prostituée—Boule de suif. Boule de suif est au début méprisée par les autres voyageurs. Malheureusement, la neige ayant ralentis la diligence, ils ne peuvent pas arriver en ville à l’heure prévu. A cause de ne pas penser à ce problème, ils ont faim mais n’ont pas de nourriture, sauf Boule de suif. Elle est la seule qui emporte les provisions. Elle les partage avec les autres, alors ils deviennent plus courtois avec elle.

Ensuite, arrivé dans la ville de Tôtes, un officier allemand les oblige à rester jusqu’à Boule de suif agrée coucher avec lui. Elle déteste les envahisseurs prussiens et refuse directement. Au début, les autres passagers se tiennent un front uni avec elle, mais le lendemain, ils restent encore dans l’hôtel. En ce moment, leurs propres intérêts a finalement abattu la compassion et l’indignation. Alors, un complot se trame contre elle. Ses compagnons essaient de la persuader tour à tour. Elle finit par se sacrifier et ils peuvent repartir .

Au retour dans la diligence, les voyageurs méprisent Boule de suif pour ce qu’elle ait fait. Personne ne veut plus partager son repas avec elle et ils la laissent pleurer seule dans son coin.

3.2 Les élites et la laideur de l’humanité

3.2.1 Les Loiseau, les Carré-Lamadon et les Bréville

Les Loiseau, des marchands de vins en gros de la rue Grand-Pont, sont des parvenus qu’une certaine fortune à l’origine douteuse a été placés au rang de la bourgeoisie. La couple Carré-Lamadon a un stade plus haut dans la hiérarchie sociale. Ils sont représentants de la bourgeoisie normande. Leurs affaires sont importantes. Ils peuvent jouer un rôle primordial au niveau politique. Le comte et la comtesse Hubert de Bréville sont les représentants de la noblesse. Ils portent un des noms les plus anciens et les plus nobles de la Normandie. Ils sont les grandes bourgeoisies. «Ces six personnes forment le fond de la voiture, le côté de la société rentée, sereine et forte, des honnêtes gens autorisés qui ont de la religion et des principes.»

Toutes les trois couples représentent trois étapes du développement de la bourgeoisie. Ils ont les caractères communs: d’abord, ils se considèrent comme être supérieurs aux autres gens. Aussitôt que Boule de suif fut reconnue, des chuchotements coururent parmi les femmes honnêtes. «Elles devaient faire, leur semblait-il, comme un faisceau de leurs dignités d’épouses en face de cette vendue sans vergogne; car l’amour légal le prend toujours de haut avec son libre confrère.» Quant aux trois hommes, ils parlaient d’argent d’un certain ton dédaigneux pour les pauvres. Ils faisaient ostentation de leur argent.

Et puis, ils sont esclaves de l’argent. Les hommes se sentaient frères comme l’argent, de la grande franc-maçonnerie de ceux qui possèdent, qui font sonner de l’or en mettant la main dans l’oche de leur culotte. Ils profitaient de tous les temps possibles pour gagner de l’argent, même quand ils se trombaient dans la ville de Tôtes. En dernier lieu, ils sont égoïstes. Quand le pays tombait dans une situation difficile, les soi-disant élites ont fui pour sauver leurs propriétés, vies et biens. Ils n’ont pas combattu avec l’ennemis, personne ne se soucie vraiment du sort de la démocratie dans le pays. Notamment, le Loiseau fait fortune en utilisant cette occasion de cette guerre.

En outre, en raison de leurs différents statuts, ils ne sont pas semblables complètement.

Les Loiseau étaient parvenus. Ils sont médiocres, vulgaire même grivois. M. Loiseau est un individu odieux. Il a mauvais goût, un langage coquin et ne peut s’empêcher de dissimuler son manque d’ éducation. C’est lui qui est le premier à accepter l’offre de partage de Boule de suif, et c’est aussi lui qui est le premier à la malmener à la fin de la nouvelle. Quant à sa femme, elle est marquée par l’avarice. «Elle souffrait toujours en entendant parler d’argent gaspillé, et ne comprenait même pas les plaisanteries sur ce sujet.»

Pour la couple Carré-Lamadon, l’auteur souligne leur caractère hypocrite. M. Carré-Lamadon n’a aucune véritable conviction politique. Sa position est purement calculée par l’argent. «Il était resté, tout le temps de l’Empire, chef de l’opposition bienveillante, uniquement pour se faire payer plus cher son ralliement à la cause qu’il combattait avec des armes courtoises.» Il n’a rien d’un patriote convaincu. Il manifeste une mentalité contradictoire. Il conçoit et respecte le déploiement militaire mis en place pour vaincre l’ennemi mais refuse d’accepter le coût d’une telle mobilisation militaire. De même, sa femme semble mépriser Boule de suif tandis qu’elle peut se vanter d’avoir davantage de vertu. En effet, l’auteur la décrit comme une femme adultère. «Mme Carré-Lamadon,beaucoup plus jeune que son mari, demeurait la consolation des officiers de bonne famille envoyés à Rouen en garnison.» L’auteur souligne aussi son hypocrite. On peut voir une description que la femme de manufacturier, qui a faim mais ne veut pas demander directement le secours à Boule de suif, elle feint de perdre l’esprit, alors elle est obligée d’accepter ses nourritures.

Et le comte et la comtesse Hubert de Bréville, ils sont censés refléter les accordées à la noblesse: l’honneur et la bravoure. «Le comte, vieux gentilhomme de grande tournure, s’enforçait d’accentuer, par les artifices de sa toilette, sa ressemblance naturelle avec la roi Henri IV, qui, suivant une légende glorieuse pour la famille, avait rendu grosse une dame de Bréville, dont le mari, pour ce fait, était devenu comte et gouverneur de province.» Ce couple était lâche et exagéré. Ils dominaient les autres intellement. Ils donnaient des conseils aux autres pour pousser Boule de suif au Prussien. Selon les Bréville, la pauvre fille doit céder. « Il lui parla de ce ton familier, paternel, un peu dédaigneux, que les hommes posés emploient avec les filles, l’appelant: “ma chère enfant”, la traitant du haut de sa position sociale, de son honorabilité indiscutée. Il la prit par la douceur, par le raisonnement, par les sentiments. Il sut rester “monsieur le comte”, tout en se montrant galant quand il le fallut, complimenteur, aimable enfin. » Tous ce qu’il a fait visait à persuader cette fille avec un ton supérieur. Il représente les gens bassesses de la classe noble.

3.2.2 Le démocrate

Le démocrate, Cornudet, est un personnage clé de la nouvelle. Il représente les gens démocrates. Il est évidemment un patriote. Il s’était occupé avec une ardeur incomparable d’organiser la défense. Il parlait beaucoup de la politique. Tandis que les gens donnaient des opinions pour combattre contre les Prussiens, il était agréable et louer ces paroles. Il était grave et hautain devant l’ennemi. Il croyait qu’il représente l’image d’Etat, il ne veut pas nuire à l’image de leur pays. Mais il manque de l’action véritable d’insubordination. Il disposait la défense, mais lorsqu’à l’approche de l’ennemi, il s’était vivement replié vers la ville au lieu de combattre avec arme. Dans l’auberge, quand les autres conspiraient contre la pauvre fille pour la pousser au Prussien, il restait à l’écart, complètement étranger à cette affaire. Quand Boule de suif cédait, il était mécontent, mais il ne l’empêchait pas. A la fin de la nouvelle, il ressent une haine profonde par entamer La Marseillaise au lieu de soutenir Boule de suif. Il fait preuve d’arrivisme mais il ne peut pas protéger véritablement le pays.

3.2.3 Les religieuses

Les deux religieuses étaient représentantes de l’Eglise. L’auteur faisait la caricature d’eux. On peut voir « Mais Boule de suif, d’une voix humble et douce, proposa aux bonnes soeurs de partager sa collation. Elles acceptèrent toutes les deux instantanément, et, sans lever les yeux, se mirent à manger très vite après avoir balbutié des remerciements.» Les descriptions « instantanément », « manger très vite » prouvent que les nonnes ont très faim. Mais ils « ont balbutié des remerciement », remerciements brefs et presque inaudibles. Elles ne prennent pas le temps de remercier le Dieu.

Quand la diligence était empêchée par le Prussien, « les deux bonnes sœurs obéirent les premières avec une docilité de saintes filles habituées à toutes les soumissions.» La plus vielle joue un rôle fondamental dans le dénouement du récit puisque ce sont ses propos, soufflés par la comtesse, qui achèvent de convaincre la prostituée. Leur idéologie a toujours été au service des classe dominante.

3.2.4 La laideur de l’humanité

L’événement ce qui a lieu dans l’hôtel exposait complètement les moralités des dix personnes. Ils non seulement n’ont pas soutenu le comportement courageux de Boule de suif, mais aussi poussent Boule de suif à l’officiel prussien. Boule de suif, simple et naïve, pas d’adversaires rusés, atteint le but de ces gangs rusés. Au début, à entendre le demande basse de l’officiel prussien, les autres personnes expriment une sorte d’outrage. Mais comme le victime est l’autre au lieu d’eux-mêmes. Ils peuvent faire la meilleur attitude. De plus, à ce moment, ils n’ont pas estimé le développement de cette chose qui peut affecter directement leurs propres intérêts. Ils savent la raison pourquoi ils ont été bloqués après le repas du lendemain. Le troisième jour, comme ils ne peuvent pas repartir, il s’était produit comme un refroidissement vis-à-vis de Boule de suif. Juste au dîner de la veille, ils ont aussi plein de colère au Prussien, maintenant, ils changent de leurs avis. « On en voulait presque à cette fille, maintenant, de n’avoir pas été trouvé secrètement le Prussien, afin de ménager, au réveil, une bonne surprise à ses compagnons. Quoi de plus simple? Qui l’eût su, d’ailleurs? Elle aurait pu sauver les apparences en faisant dire à l’officier qu’elle prenait en pitié leur détresse. Pour elle, ça avait si peu d’importance!» Ils deviennent impatients et fielleux à Boule de suif. « Des paroles aigres furent même échangées à propos de choses insignifiantes.» Le quatrième jour, on descendit « avec des visages fatigués et des coeurs exaspérés». « Les femmes parlaient à peine à Boule de suif.» Aussitôt que Boule de suif part pour un baptême, les gens ont la possibilité de discuter comment vendez Boule de suif. Mme Loiseau la gronde comme une gueuse. Elle même trouve l’officiel « se conduit très bien». Son époux, très vulgaire, suggère de « livrer “cette misérable” pieds et poings liés à l’ennemi». Ces femmes expriment leurs pensées sales avec quelques-uns langages dans la conversation. «Ces dames surtout trouvaient des délicatesses de tournures, des subtilités d’expression charmantes, pour dire les choses les plus scabreuses.» « Mais la légère tranche de pudeur dont est bardée toute femme du monde ne recouvrant que la surface, elles s’épanouissaient dans cette aventure polissonne, s’amusaient follement au fond.» Ce scandale de «la guerre psychologique» de ces soi-disant élites expose pleinement leur bassesse. Elles commencent avec sacrifice généralement, puis des exemples des bêtises dans l’histoire ancienne. «On aurait pu croire, à la fin, que le seul rôle de la femme ici-bas était un perpétuel sacrifice de sa personne, un abandon continu aux caprices des soldatesques.» Toutes les paroles jouent un rôle d’entaille de rupture pour Boule de suif. Mais c’est le dialogue entre la comtesse et la plus âgée des bonnes sœurs et les paroles du comte qui exerce la plus grande action. La comtesse interroge la sœur « Alors, ma soeur, vous pensez que Dieu accepte toutes les voies, et pardonne le fait quand le motif est pur?» Et la sœur répond «Qui pourrait en douter, Madame? Une action blâmable en soi devient souvent méritoire par la pensée qui l’inspire.» Et tout cela était raconté d’une façon convenable et modérée, mais jouent un rôle dans l’effondrement de l’esprit de Boule de suif. Elle, jeune et inexpérimentée, est attaquée de ces astucieux, et finalement dupée.

3.3 La prostituée et la beauté de l’humanité

«Petite, ronde de partout, grasse à lard, avec des doigts bouffis, étranglés auxphalanges, pareils à des chapelets de courtes saucisses, avec une peau luisante et tendue, une gorge énorme qui saillait sous sa robe, elle restait cependant appétissante et courue, tant sa fraîcheur faisait plaisir à voir. Sa figure était une pomme rouge, un bouton de pivoine prêt à fleurir ; et là−dedans s’ouvraient, en haut, deux yeux noirs magnifiques, ombragés de grands cils épais qui mettaient une ombre dedans; en bas, une bouche charmante, étroite, humide pour le baiser, meublée de quenottes luisantes et microscopiques.» C’est la description de physique de Boule de suif. «Elle est charmante votre fille.» C’est ainsi que Flaubert qualifia Boule de suif après une première lecture de la nouvelle.

Boule de suif a non seulement le physique assez sain, mais aussi l’âme bonne et la beauté humaine. La première qualité de Boule de suif que ce passage met en pleine lumière est sa générosité: quand les autres oubliaient de prendre les provisions, elle ne refusait à personne de partager sa nourriture et demande à tout le monde s’ils en veulent. Elle est une fille très gentille, avec l’esprit de compassion et de tolérance. Malgré les insultes malveillantes et le mépris des autres, elle a l’initiative de les inviter à manger, ce qui dévoile sa qualité serviable. «Alors son mari, arrondissant sa phrase, demanda à leur “charmante compagne” si elle lui permettait d’offrir un petit morceau à Mme Loiseau. Elle dit : “Mais oui, certainement, Monsieur”, avec un sourire aimable, et tendit la terrine.» Elle les aidait sans la moindre hésitation, même avec ambiance agréable.

Elle a aussi fort sentiment patriotique et fierté nationale. Elle fuit Rouen à la suite des envahissements prussiens. «Boule de suif raconta, avec une émotion vraie, avec cette chaleur de parole qu’ont parfois les filles pour exprimer leurs emportements naturels, comment elle avait quitté Rouen». Quand elle les ai vus, ces Prussiens, «ce fut plus fort» qu’elle. Ils l’ont «tourné le sang de colère». Puis il en est venu pour loger chez elle, alors elle a sauté à la gorge du premier. Il a fallu se cacher après ça. Arrivé dans la ville de Tôtes, un officier allemand demande à Boule de suif de coucher avec lui. A son avis, ce signifie une trahison de la patrie. «Mais au bout de dix minutes elle reparut, soufflant, rouge à suffoquer, exaspérée. Elle balbutiait : “Oh la canaille! la canaille !”»; «mais l’exaspération l’emporta bientôt: “Ce qu’il veut ?... ce qu’il veut ?... Il veut coucher avec moi!” cria−t−elle.» Elle semble colère à la demande basse. Elle n’était pas pareille avec Cornudet. Elle fait preuve d’esprit patriotique à travers les actions réelle.

4. La signification réaliste et l’introspection

4.1 Les actions patriotiques

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